
Tout peut s’oublier – je ne peux qu’abonder dans votre sens, cher Olivier Adam.
Oui, tout peut s’oublier, comme vos derniers romans qui m’avaient déçue.
« Tout peut s’oublier » m’a réconciliée avec vous, m’a redonné le plaisir de vous lire.
Je vous ai retrouvé, entre St Malo et Kyoto, points d’ancrage de mes voyages littéraires à vos côtés, emportée dans Des vents contraires à bord du Kyoto Limited Express.
Toujours armé de colère, et de mélancolie, fidèle à vous-même, ou plutôt à votre ancien moi, avant que je vous perde de vue dans les rues de Lisbonne la ville silencieuse, puis vous abandonne lors d’Une partie de badminton.
Jun, sans prévenir, est repartie vivre au Japon. Emmenant avec elle Léo, le fils qu’elle a eu avec Nathan. Bien qu’ils vivaient séparés, Nathan n’était pas préparé à cette disparition brutale – qu’est-ce qui a motivé cette décision? Pourquoi n’a-t-il rien vu venir?
Lire la suite