voilà comment on peut chambouler mon plan de lecture…
Oui, régulièrement, face à la pile de livres qui augmente, je me prends pour un stratège et mets en place un plan de lecture pour les semaines à venir.
En fait il est très rare que je m’y tienne, mais j’ai le sentiment d’avoir le contrôle sur mon impulsivité de lectrice compulsive.
Hier j’ai ouvert le magazine Elle, comme tous les vendredis soirs. Comme à chaque fois, je vais directement aux pages Livres voir la surprise hebdomadaire que nous réserve Olivia de Lamberterie. Il y a toujours 95 % de chances pour que je sois en phase complète avec les découvertes qu’elle nous propose.
Et hier, donc, je tombe sur cette chronique d’Olivia de Lamberterie qui nous présente le nouveau Maggie O’ Farrell. Je me réjouissais déjà depuis cet été d’une sortie à venir, alors que j’avais repéré This must be the place sur les étagères de la librairie The Last Bookstore à Los Angeles (oui, je sais, ça fait un peu la fille qui se la joue!).
Tout d’un coup, c’est concret, il est là, je le veux, je dois abandonner toute lecture en cours pour le lire. Sauf que je devrai patienter jusqu’au 6 avril… la frustration est grande. Là tout d’un coup, j’étais prête à chambouler mon plan de lecture, versatile, infidèle, légère, oubliant toutes mes promesses de moi à moi.
Maggie O’ Farrell nous réserve toujours la promesse d’une lecture sensible, mettant la femme au cœur de ses romans avec une plume divine. Découverte avec Quand tu es parti, un roman sur la perte et le deuil, l’écrivaine irlandaise a délivré la puissance de sa force narrative et de son écriture dans L’étrange disparition d’Esme Lennox, roman sur la différence, l’enfermement, et la trahison – puissance confirmée dans Cette main qui a pris la mienne. Moins enthousiasmée par son dernier roman, En cas de forte chaleur, j’espère être réconciliée avec le talent de l’écrivaine en lisant Assez de bleu dans le ciel – si j’en crois le billet dithyrambique de ma journaliste littéraire préférée, je ne devrais pas être déçue:
L’étincelant brio narratif de Maggie O’Farrell, couplé à une fantaisie psychologique, porte son roman à un point émotionnel incandescent
Titre: Assez de bleu dans le ciel (This must be the place)
Auteur: Maggie O’Farrell
Editeur: Belfond
Parution: 6 avril 2017
Heureusement, le 6 avril, c’est demain ;))
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Euh… demain c’est vite dit ! Tu as un calendrier sous les yeux ??! 😂
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Tu me fais rire!!
Je ne connaissais pas du tout cette fameuse maggie, je vais donc surveiller ton post, à partir du 6 avril ! 😘😘😘
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Mon désespoir te fait rire!!! Vive les copines 😂
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J’adore L’étrange disparition d’Esme Lennox.
Je ne me souviens plus d’avoir lu les autres (la raison pour laquelle j’ai un blog qui me permet de garder une trace de ce que je lis !)
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Oui ça aide!! Mon blog remplace les carnets sur lesquels je faisais les résumés de mes lectures…je viens d’acheter le Maggie O’Farrel. Demain soir débutent mes vacances et cette nouvelle lecture… À suivre !!!
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